Concept développé (à l'oral, sans trace écrite de sa part) par kF pour désigner une mécanique ou un ensemble de mécaniques de jeu, notamment de jeu sans MJ, qui permettent une cohérence narrative dans une partie improvisée malgré des éléments au départ disparates. La cohérence se construit et se renforce au fur et à mesure de la partie, à partir de convergence symbolique et de continuités rétroactives [1].
kF observe ce phénomène dans le jeu de rôle Inflorenza [2] mais il peut être extrapolé à d'autres jeux de rôles avec ou sans MJ, voire être un enjeu de pratique plus global (autrement dit, l'ultracohérence peut être l'objectif de la table même en utilisant un jeu qui ne motorise pas l'ultracohérence). [3]
Les différentes mécaniques ou pratiques favorisant l'ultracohérences peuvent être les suivantes :
[1] [Notion] Continuité rétroactive, sur Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Continuité_rétroactive[Consulté le 26/10/2023]
[2] [Jeu] Thomas Munier, Inflorenza, auto-édité https://outsiderart.blog/millevaux/inflorenza-2/
[Consulté le 26/10/2023]
[3] [Article] Thomas Munier, Les briques narratives, sur Outsider https://outsiderart.blog/2022/09/20/les-briques-narratives/ [Consulté le 26/10/2023]
[4] [Notion] Carte relationnelle, sur Wiki Nonobstant [Consulté le 26/10/2023]
[5] [Notion] Liste de Tchekhov, sur Wiki Nonobstant https://wiki.nonobstant.cafe/fr/Mécaniques/liste-de-tchekhov [Consulté le 26/10/2023]